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... Et Ce Que Je Fais...

  • : PAROLIERE ASTRANEA
  • : Parolière à mes heures, je suis passionnée par l'écriture. Sur auteur-parolier, LE site de référence, découvrez la convivialité qui règne autour de tous ces mots qui deviennent " magiques " lorsqu'ils qu'ils forment un couplet, un refrain... Bref, une chanson. Jamais anodine, la chanson car elle se rapporte toujours à une histoire : gaie, triste, émouvante ou drôle. Comme celle que nous chantons... tous... un jour.
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  • Parolière amoureuse de ces si jolis mots qui soignent ces si vilains maux… à la recherche de si jolies musiques pour adoucir vos mœurs… propose ses textes aux musiciens et interprètes.
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28 avril 2013 7 28 /04 /avril /2013 14:02

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Dis-moi où tu te caches

Douce amie de ma vie

Ne joue plus à cache-cache

 Sors enfin de ton lit

 

Tu t’étais endormie

Réveille-toi enfin

Il fait jour aujourd’hui

Et aujourd’hui j’ai faim

 

De soleil et d’envies

Et de rires et de chants

Et de soirées jolies

Et des cris des enfants

 

Tout le monde s’est levé

Il n’y a que toi qui dors

Le Printemps est passé

Et l’Eté est au bord

 

De beaucoup de foyers

Animés par l’envie

Mais tu sembles oublier

Faire partie de ma vie

 

Le parasol est là

Qui tournoie sous le vent

La loveuse et ses bras

Est là et elle m’attend

 

Je me suis préparée

Petit sac à lanières

Mes cheveux relevés

Et tout le nécessaire

 

Ma petite bouteille d’eau

Mes lunettes de soleil

Et l’histoire de Toto

Sait-on ? En cas de veille

 

Pourquoi se prendre la tête

Quand on a qu’une envie

Se faire une petite sieste

En dehors de son lit

 

Vas-tu te décider ?

Sortir de ta tanière ?

Tu n’vas pas me lâcher !

Arrête de faire la fière !

 

Tu voulais ta toilette ?

Mais il fallait le dire !

Bon, je veux bien m’y mettre

Si tu fais un sourire.

 

Allez, petit lavage

Un traitement en prime

Un petit récurage

Arrête ta déprime !

 

Tiens, voilà les oiseaux

Et les abeilles aussi

Oublié mon chapeau !

Ah, enfin ! Les amis 

 

Cigales, où êtes-vous ?

Cessez de vous cacher

Votre chant est si doux

Venez donc nous bercer

 

L’odeur de la lavande

Et le bon goût des figues

C’est bien à s’y méprendre

Nous sommes presque à Martigues !

 

Un petit pastaga ?

A l’ombre du figuier

Quelques petits tapas

Venez vous évader

 

Imaginons la mer

Et le soleil couchant

Et on ne touche plus terre

A l’image des enfants

 

Petite partie de cartes

A jouer tout à l’heure

Avant que tout le monde parte

Vous me fendrez le cœur !!

 

Les flamèches des bougies

Dessineront des ombres                

Sur vos rêves infinis…

Effacées, les zones d’ombre

 

Ce n’est pas les vacances ?

Mais si ! Ca y ressemble

Entre donc dans la danse

Que l’on y soit ensemble

 

Tu ne viens pas bronzer ?

Tu n’en as pas besoin !

Benh moi je vais dorer

Et avec un grand soin

 

Ah ! Tu te laisses séduire !

Et tu reprends ta place

J’aime beaucoup ton sourire

Toi, ma jolie terrasse…

 

SYLVIE BENGUIGUI – 24 avril 2013

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 21:27





Vers ce rêve infini, tu m’emportes déjà

Et je te suis confiante, accrochée à tes bras

Mais où m’emmènes-tu ? Vers quel paradis ?

Existe-t-il un lieu où l’on aime à l’envi ?

 

Te susurrer ces mots, à peine avoués

Puis te les ériger comme des épis de blés

Mémoriser ton souffle pour en faire un copié

Te le restituer puis presque, te le céder

 

Me fondre dans tes yeux, diamantaires de ma vie

Et y voir à travers l’histoire de ma survie

Accoster sur leurs rives et y boire toute l’eau

De tes larmes salées qui ont coulé de trop

 

Divaguer sur les monts et les creux de ta joue

Y faire glisser mes doigts, descendre sur ton cou

Puis suivre tes contours, au creux de ton oreille

« Fœtus en devenir, tu deviendras merveille »

 

Redessiner la courbe de ta nuque endormie

Par tant de longues heures à te tenir raidi

Effleurer cet endroit pour le détendre au mieux    

Faire plisser tes paupières pour endormir tes yeux

 

Ecouter ton silence qui pourtant me délivre

Cette félicité que tu apprends à vivre

Te laisser te repaître de cette douce ambiance

Qui fait un pas de deux contre ton fer de lance

 

Discerner ton inspir et guetter ton expir  

Qui se perd dans le temps avant de se finir

Attendre le moment généreux et propice

Ou tu me diras oui, encore, bis…

 

 

Mais… qu’entend-je siffler à mes oreilles, là

N’est-ce point le réveil qui entonne son « la »

Oh, non, ce n’est pas vrai, cela va s’arrêter !

Dis-lui de s’en aller… affreuse réalité !

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 21:08

VERS CE REVE INFINI...

ou comment faire de beaux rêves... avant que...

Mais je vous laisse découvrir la suite...

 

Le poème a eu l'honneur de faire partie de la sélection publiée dans l'ouvrage

" Anthologie Poétique Flammes Vives 2012 - Tome 1 "

 

 

 

vi anthologie2012 v1[1] 

Vous pouvez bien sûr l'acquérir ici

http://www.flammesvives.com/index.php?page=shop.browse&category_id=7&option=com_virtuemart&Itemid=68

En vous souhaitant à vous aussi de faire de doux rêves...

Astrané à vôtre

 

 

 

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13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 13:05

 

" TERRE D'AVENIR " à lire 
dans le recueil de Poésie  " Du Souffle sous la Plume n° 7 "

Le chemin se poursuit, toujours dans l'Avenir, puisque tel est le sujet.

 

Dans  ce n° 7 ,  " TERRE D'AVENIR " pose la question du futur...

 

Demain... OU ? QUAND ? COMMENT ? POURQUOI ?...

  

Toutes ces questions que chacun se pose, à un moment ou à un autre de sa vie.

 

Le sujet est traité ici de manière plus abstraite que concrète. A vous d'écrire ou de réfléchir à votre propre chemin de vie de manière plus terre-à-terre.

 

Je vous en laisse le soin... et lirai d'ailleurs aussi avec plaisir votre propre perception du sujet.

 

 

 

divers - Du souffle sous la plume - n°7, poésie - ouvrage collectif

 

 

http://www.rezobook.com/auteurs/sylvie-benguigui

 

 

 

 

 

 

 

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 18:40

Petite citation...



eric-yang-new-york-bagel.jpg

"
L'art est à l'âme ce que le pain est au ventre "


Astranéa


CECI POUR DIRE QUE la faim ... 


Ne doit pas écouter que notre seul estomac...

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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 13:24
Le poème " INFIDELITE " choisi


pour paraître dans le n° 5 " Du Souffle sous la Plume "

Dans le n° 5 du livre des poètes...

 

  " INFIDELITE" met en mots l'histoire du choix...

 

Tendon d'Achille de l'âme humaine, " INFIDELITE " vous entraîne dans les méandres, difficiles parfois, du rapport à trois.

 

Vous l'avez vécu ? Vous êtes en train de le vivre ? N'hésitez pas à laisser vos commentaires liés à votre ressenti...

 

Profitez-en également pour vous interesser aux autres auteurs, ils sont tous doués pour manier le verbe.
 

 

 

Sur ce, je vous dis à bientôt, pour vous parler d'un autre sujet...

 

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22 septembre 2011 4 22 /09 /septembre /2011 11:13
Le poème " PERSPECTIVE " à l'honneur
Parution dans le n° 3 " Du Souffle sous la Plume "

TOUT BEAU... TOUT CHAUD... TOUT NOUVEAU...  le n° 3 du livre des poètes...

 

Parmi d'autres poèmes, " PERSPECTIVE " ouvre un chemin qui s'aventure un peu plus loin... un peu plus haut...

 

Il fait référence au " voyage astral " ou " sortie du corps ". Que cette pratique soit manifeste ou pas, peu importe, l'important étant que l'esprit puisse vagabonder à sa guise...

 

" PERSPECTIVE " n'a pas d'autres ambitions que celle de vous entraîner dans ce petit voyage

 

Si vous voulez le garder en mémoire et en profiter pour lire d'autres auteurs, tous talentueux, ce peut être une jolie idée de cadeau ou simplement un petit livre à garder près de vous, sur votre table de chevet...

 

Je vous dis à bientôt, au détour d'un autre sentier, peut-être...

 

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19 mai 2011 4 19 /05 /mai /2011 21:54

 

TERRE D’AVENIR

 

Toi, l’Avenir, où te caches-tu sur l’horizon ?

A droite, à gauche, devant, derrière, en haut, en bas ?

Par quel fil d’Ariane t’es-tu attaché à moi ?

Et as-tu fait en sorte de nourrir mes saisons

 

Aujourd’hui, je suis là, bien debout devant toi

Je venais du passé mais tu m’as appelé

Ais-je vraiment eu le choix de vivre à tes côtés 

Car l’histoire du futur a-t-elle une autre loi ?

 

Tu me dis que je suis obligée de te suivre…

Petit regard à droite mais retour vers la gauche

Je visionne quelque chose qui n’en est qu’à l’ébauche

Et me perds dans d’anciens souvenirs pour survivre

 

Mon passé, c’est ainsi, ne peut pas trépasser

Mon présent ne perdure que s’il devient futur

Et m’emmène sur cet avenir dont je n’ai cure

Quand le futur s’assied sur des schémas usés.

 

Alors ?

Glisser sur ce chemin connu ou inconnu

Se défaire d’aujourd’hui en lui fermant les yeux

Se dire que dès demain s’allumera le feu

De l’aube de la vie qui sera mise à nu

 

Espacer donc ce temps, le laisser s’écouler

Demain est si lointain qu’il ne peut exister

Car le temps à venir ne se peut annoncer

Que par des lendemains toujours ré-enchantés 

 

Qu’ai-je déterminé, par mes actions passées ?

Et qu’aurais-je à subir d’encore dissimulé ?

Dans quelle drôle de vie vais-je donc basculer ?

Ne pas savoir m’inquiète et me tient éveillée

 

Tout ce temps écoulé dans tous ces sabliers

Que le futur emporte pour ne pas le figer

Ce serait si facile de pouvoir oublier

Que le temps ne s’égrène que parce qu’il a parlé

 

Du trou noir se profile l’étrange fixité

D’un temps si fatigué de se mouvoir sans cesse

C’est gravé dans la pierre que ce temps-là s’achève

Pour se tourner enfin vers la… postérité.

 

Poème publié dans le recueil de Poésie " Du souffle sous la Plume n° 7 "

 

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7 janvier 2011 5 07 /01 /janvier /2011 19:55

 

  Soleil-1-.jpg

         Avec l'aimable autorisation d'Angélica

             http://another-view.over-blog.fr/12-categorie-10893047.html

 

 

 

 

Parce que les cœurs sont là et battent à l’unisson

Et qu’ils demandent encore à émettre des sons

 

Parce qu’il est des désirs qui naissent à l’infini

Et des regrets qui meurent et tombent dans l’oubli

 

Parce que le soleil brille toujours même quand il pleut

Et que le vent emporte les gouttes dont on ne veut

 

Parce que l’année se doit d'être la plus belle de toutes

Et que le temps dépasse les peines qui nous coûtent

 

Parce que Demain sera ce que vous en ferez

A la seule condition que vous vous en parliez…

 

Je vous souhaite à tous une très bonne Année

La formule est si bonne, pourquoi donc en changer ???

 

Astrané...à...Vous

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4 décembre 2010 6 04 /12 /décembre /2010 13:31

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A côté y a d’la place mais elle est pas pour moi

A côté y a l’espace dans lequel je n’suis pas

Parce que ma place est là et non pas autre part

C’est la vie qui m’a posé là dans ce hasard

 

A côté le soleil brille toute la journée

Mais ici c’est la pluie que je regarde tomber

Du bon côté du mur se trouve d’autres gens

Moi, du mauvais côté, je tais mes sentiments

 

Sur le côté j’ me tiens avec mes différences

Certaine que demain fera taire ma souffrance

En sera-t-il ainsi sur la place d’à côté

Je n’en suis pas si sûre… mais voulez-vous parier ?

 

Car de chaque côté de la rue de la vie

Il y a tant de gens qui sombrent dans l’oubli

Tant de tous les côtés que l’on ne les voit plus

Indifférence… mot à bannir de la rue

 

A côté de ma vie il y a bien la leur

Pour laquelle je pourrai me battre avec ferveur

A côté je ne sais si je pourrai y aller

Car un côté de moi refuse de bouger

 

Mais ce n’est qu’un côté du problème car au fond

L’envie est-elle en moi de changer mes saisons                    

Car du quelque côté que l’on place sa vie

L’important n’est-il pas d’être toujours en vie ?

 

Je suis de ton côté me dit-on quelquefois

Moi je veux bien les croire tout en gardant la foi

Sans savoir ce que c’est d’être dans mon état

Est-il possible de croire à leurs mea-culpa ?

 

Mais…

Si t’es pas à côté je me relèverai pas

Alors regarde-moi ne baisse pas les bras

Continue à me dire qu’à côté c’est chez toi

Et que cet endroit-là sera un jour à moi

 

Dans la vie se côtoient valides et invalides

QUI est plus important et qui donc le valide ?

Quel que soit le côté où vous, vous vous placez

Dites moi voir un peu ce que vous en pensez

 

Du mot… handicapé.

 

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